Barbara Olmos
Dreamstreet
L’espace urbain est troublé par une situation insolite, féérique voir fantastique.
Ils se détachent deux sortes d’images, celle de base et le collage. Elles diffèrent par leurs origines, d’une part, nos souvenirs semblables, tels que les lieux communs que l’on côtoie tous les jours dû à l’uniformisation de nombreuses villes, devenant ainsi des repères, et d’une autre part, les images récupérées sur des supports virtuels aux mul ples richesses visuelles, tel que la télévision, les livres, Internet... En réalité, elles ne cohabitent pas ensemble, on a évidemment un rapport différent avec elles, qu’on soit assis sur un banc à observer le paysage dans lequel on est ancrés ou sur son fauteuil à fixer un écran où on se projète, malgré le détachement physique. Au vu des images véhiculées, la réalité peut semblait fade, l’imagination et le rêve permettent donc de construite un univers hors du commun, en fusionnant ces deux visions du monde, la nôtre et celle que l’on nous montre. En conséquence, On peut voir un envahissement de phénomènes anormaux, dû à une rupture entre la réalité et l’imaginaire.
(2014)